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Résistance et transition
2 octobre 2014

Citations des grands penseurs végétariens

Pythagore

 « Quiconque tranche avec un couteau la gorge d’un bœuf et reste sourd aux meuglements d’effroi, quiconque est capable d’abattre de sang-froid le chevreau hurlant et mange l’oiseau qu’il a lui-même nourri, est-il encore très éloigné du crime ? »

Plutarque, 45-120 apr. J.-C.

« Pouvez-vous vraiment demander pour quelle raison Pythagore s’abstenait de manger de la viande ? Moi, pour ma part, je me demande dans quelles conditions et dans quel état d’esprit, l’homme a pu, pour la première fois, se forcer à toucher du sang avec ses lèvres, à porter le cadavre à sa bouche et à orner sa table avec des corps morts et en décomposition, et s’est permis d’appeler ses parties qui beuglaient, hurlaient, marchaient et vivaient un instant auparavant, sa nourriture… Pour leur viande, nous leur volons le soleil, la lumière et la durée de vie qui leur appartiennent depuis la naissance. »

Confucius, 551-479 av. J.-C., philosophe chinois :

« Quiconque a entendu les cris d’un animal qu’on tue ne peut plus jamais manger de sa chair. »

« Tant que les hommes massacreront les animaux, ils s’entre-tueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l’amour. »

Voltaire, 1694-1778, philosophe et écrivain français :

« Pourquoi les hommes et les animaux ne conversent-ils plus ensemble comme ils le faisaient dans une époque ancienne et mythique ? demande la princesse au Phénix. C’est, répond l’oiseau, parce que les hommes ont pris enfin l’habitude de nous manger… Les barbares ! Ne devaient-ils pas être convaincus qu’ayant les mêmes organes qu’eux, les mêmes sentiments, les mêmes besoins, les mêmes désirs, nous avions une âme comme eux, que nous étions leurs frères… » (La Princesse de Babylone)

Alexander von Humboldt, 1769-1859, fondateur de la géographie scientifique :

« La cruauté à l’égard des animaux n’est conciliable ni avec une véritable humanité instruite, ni avec une véritable érudition. C’est un des vices les plus caractéristiques d’un peuple ignoble et brutal. Aujourd’hui, pratiquement tous les peuples sont plus ou moins barbares envers les animaux. Il est faux et grotesque de souligner à chaque occasion leur apparent haut degré de civilisation, alors que chaque jour ils tolèrent avec indifférence les cruautés les plus infâmes perpétrées contre des millions de victimes sans défense. »

Léon Tolstoï, 1828-1910, écrivain russe :

« Lorsqu’un homme recherche sérieusement et sincèrement la voie morale, la première chose dont il doit se détourner est la viande… Le végétarisme est un critère auquel nous pouvons reconnaître si l’aspiration à une perfection morale est authentique et sincère. »

Jeremy Bentham, 1748-1832, philosophe britannique :

«  La question n’est pas : “Peuvent-ils raisonner ?” ni “Peuvent-ils parler ?” mais “Peuvent-ils souffrir ?”» 

Lamartine, 1790-1869, poète et homme politique français :

« Ma mère était convaincue, et j’ai gardé à cet égard ses convictions, que tuer les animaux pour se nourrir de leur chair et de leur sang est l’une des plus déplorables et des plus honteuses infirmités de la condition humaine ; que c’est une de ces malédictions jetées sur l’homme par l’endurcissement de sa propre perversité. Elle croyait, et je crois comme elle, que ces habitudes d’endurcissement du cœur à l’égard des animaux les plus doux, ces immolations, ces appétits de sang, cette vue des chairs palpitantes, sont faits pour férociser les instincts du cœur. »

« On n’a pas deux cœurs, un pour les animaux et un pour les humains. On a un cœur ou on n’en a pas. »

Léonard de Vinci, 1452-1519, génie universel italien :

« Il est vrai que l’homme est le roi de tous les animaux car sa cruauté dépasse la leur. Nous vivons de la mort des autres. Nous sommes des cimetières vivants ! »

« Très jeune j’ai renoncé à manger de la viande et le temps viendra où les hommes regarderont les meurtriers d’animaux avec les mêmes yeux que les meurtriers d’êtres humains. »

Jean-Paul Friedrich Richter, dit “Jean-Paul”, 1763-1825, écrivain allemand :

« Ô combien faut-il d’heures de martyre aux animaux pour donner à l’homme une seule minute de plaisir pour son palais ! »

Darwin, 1809-1882, naturaliste britannique :

« La classification des formes, des fonctions organiques et des régimes a montré d’une façon évidente que la nourriture normale de l’humain est végétale comme celle des anthropoïdes et des singes, que nos canines sont moins développées que les leurs, et que nous ne sommes pas destinés à entrer en compétition avec les bêtes sauvages ou les animaux carnivores. »

Friedrich Nietzsche, 1844-1900, philosophe allemand :

« Toute la philosophie antique était orientée sur la simplicité de la vie et enseignait une certaine sobriété. De ce point de vue, le peu de végétariens par philosophie ont fait plus pour l’humanité que tous les philosophes modernes et tant que ces derniers n’auront pas le courage de chercher un mode de vie totalement différent et de l’indiquer comme exemple, ils ne porteront aucun fruit. »

Samuel Butler, 1835-1902, romancier et essayiste britannique :

« L’homme est le seul animal qui peut être l’ami de ses victimes jusqu’à ce qu’il les dévore. »


Thomas Edison , 1847-1931,  ingénieur américain, inventeur de l’ampoule électrique et du cinéma :

« Je suis végétarien et antialcoolique : ainsi je peux faire un meilleur usage de mon cerveau. »

Richard Wagner, 1813-1883, compositeur allemand :

« Comme la vue d’un taureau sacrifié aux dieux était devenue pour nous un opprobre, nous avons caché le bain de sang quotidien dans des abattoirs lavés à l’eau de l’attention de tous ceux qui se repaissent de morceaux de cadavres d’animaux domestiques préparés pour qu’ils ne soient pas reconnaissables. »

Romain Rolland, 1866-1944, écrivain français, prix Nobel de littérature :

« La cruauté envers les animaux et même déjà l’indifférence envers leur souffrance est à mon avis l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l’homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances ? »

 Mahatma Gandhi, 1869-1948, l’un des pères-fondateurs de l’Inde moderne et défenseur de la non-violence :

« La grandeur d’une nation et ses progrès moraux peuvent être jugés de la manière dont elle traite les animaux. » – « S’abstenir de viande est d’un grand secours pour l’élévation de l’âme. »


Théodore Monod , 1902-2000, naturaliste et explorateur :

« Ce qu’on peut critiquer, c’est cette prééminence exclusive donnée à l’homme, car cela implique tout le reste. Si l’homme se montrait plus modeste et davantage convaincu de l’unité des choses et des êtres, de sa responsabilité et de sa solidarité avec les autres êtres vivants, les choses seraient bien différentes. Ce n’est peut-être qu’un espoir. »

Théodore Adorno, 1903-1969, philosophe américain d’origine allemande :

« Auschwitz commence partout où quelqu’un regarde un abattoir et pense : ce sont seulement des animaux. »

Jules Michelet, 1798-1874, historien et philosophe français :

« Vie animale, sombre mystère. Toute la nature proteste contre la barbarie de l’homme qui ne comprend pas, qui humilie et qui torture ses frères inférieurs. » – « Le régime végétarien ne contribue pas pour peu de chose à la pureté de l’âme. »


Isaac Bashevis Singer , 1904-1991, écrivain polonais, naturalisé américain, prix Nobel de Littérature 1978 :

« On affirme souvent que les hommes ont toujours mangé de la viande, comme si c’était une justification pour continuer à le faire. Selon la même logique, nous ne devrions pas chercher à empêcher un homme d’en tuer un autre étant donné que cela aussi a toujours été. » – « Nous sommes tous des créatures de Dieu ; il n’est pas conciliable d’invoquer Grâce et Justice divines et de continuer à manger la chair des animaux qui ont été abattus par notre faute. »

George Sand, 1804–1876, écrivain française :

« Ce sera un grand progrès dans l’évolution de la race humaine quand nous mangerons des fruits et que les carnivores disparaîtront de la Terre. Tout sera faisable sur cette Terre à partir du moment où nous viendrons à bout des repas de viande et des guerres. » 

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  • Ne vous y trompez pas ! Le colibri de la fable ne trie pas ses déchets, il ne prend pas des douches plus courtes, il ne fait pas du covoiturage, il utilise la totalité de son énergie vitale pour éteindre l'incendie dans la forêt qu'il aime. Soyons uni.e.s.
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